La première table, place les  nouveaux risques, technologiques ou environnementaux en vis à vis de questions relatives à la santé ou aux lanceurs d'alerte. La deuxième, confronte les résistances traditionnelles du droit du travail, par l'action collective et syndicale, et certaines dérives syndicales, ou certains dépassements de l'action collective traditionnelle (gilets jaunes...). Autour des modes de renforcement du pouvoir, la troisième table abordera des questions relatives au temps, au contrôle des juges, aux sources du droit conventionnelles, légales, mais aussi plus atypiques, comme les guides pratiques ministériels. Le genre, objet de la quatrième table, traversera la question des harcèlements, de la preuve, des élections professionnelles et de la masculinité de certaines profession. La cinquième table, relative aux contreparties du travail recoupera non seulement la question du salaire, mais encore celle de l'assurance chômage, ou celles du dumping social, interne comme international. Enfin, il sera temps de rechercher, dans la dernière table ronde, la part de la libération et celle de l'asservissement, dans des contextes aussi différents que ceux des entreprises "libérées", des travailleurs de plateformes, ou des fonctionnaires. 

 

Les interventions seront brèves pour laisser toute la place à la discussion et pour que ces "rencontres" méritent pleinement leur nom.